Fédération Environnement Durable
http://environnementdurable.net
contact@environnementdurable.net
Los mercados internacionales de Energías Renovables y de un modo especial los eólicos están protegidos. Ponen en juego cientos de miles de millones de euros. Los actores reciben multitud de subvenciones nacionales e internacionales.
Se aprovechan oficialmente del dinero público y de desgravaciones fiscales en cascada, contrarios a las reglas de la economía de mercado.
La investigación en curso en Alemania en relación a un inmenso tráfico de certificados verdes de Energías Renovables muestra hasta qué punto los valores fundamentales de la ecología son tergiversados por éstos, quienes poseen el control de los medios de comunicación, surfean sobre la credulidad pública y practican la desinformación para saquear a los ciudadanos.
Después de la delincuencia de cuello blanco, la delincuencia verde
Energías Renovables: Tráfico de “certificados verdes”
Ludovic Grangeon,
Economie Matin
Miércoles 19 de diciembre 2012
http://www.economiematin.fr/les-experts/item/2867-ecologie-certificat-carbon
En Francia, el Tribunal de Cuentas ha denunciado en 2012 más de 1,8 mil millones de Euros de fraude en relación con los certificados de carbono, con 18 procedimientos judiciales en curso. El viernes pasado, 500 policías han investigado la sede del Deutsche Bank en Franfur, el banco central alemán. Han registrado los locales e interrogado a 25 personas incluido el vicepresidente en persona, Jürgen Fitschen, y el director financiero, Stefan Krause, principales dirigentes del consejo de administración.
El objeto de esta operación de policía de envergadura ha sido mucho más grave de lo habitual. Se trata esta vez de fraude en los certificados de carbono, esos famosos certificados verdes de los que todo el mundo habla pero de los que nadie conoce nada. Presienten cada vez más la malversación de estos certificados. Su fraude se estima por la policía financiera en 5 mil millones de € sólo para este año.
Algunos ejemplos: un ministro ucraniano ha sido implicado en un desfalco de 300 millones de certificados en 2011. En un año, el mercado italiano de certificados de carbono ha generado 500 millones de fraude antes de ser cerrado en suspensión de pagos. En Francia, el Tribunal de Cuentas ha denunciado en 2012 más de 1,8 miles de millones de fraude en los certificados de carbono, con 18 procedimientos judiciales en curso. Este procedimiento es la gangrena de las energías renovables completamente podridas en la base. Con la operación de policía en el Deutsche Bank, nos encontramos ante un fraude de nivel industrial.
El principio es simple: usted construye por ejemplo un parque eólico. Por un lado su electricidad será comprada obligatoriamente a gran precio por el contribuyente, aunque fuese de mala calidad. Pero por otra parte, existe una fuente subterránea aún más interesante: sin decir nada a nadie, usted va a poder negociar a nivel mundial los “ certificados” que van a ser recomprados por industrias contaminantes para poder seguir contaminando. Estos certificados son autorizados en nombre de misteriosas cuotas internacionales definidas por algunos expertos y sobre todo banqueros bajo el secreto de esas famosas conferencias internacionales sobre el calentamiento climático. De todas maneras, el montante cuenta poco, pues están muy mal controladasy sirven a menudo muchas más veces.
¿Por qué los financieros se sienten de repente sensibilizados por el futuro del planeta? Porque este sistema genera mucho dinero. Se entiende mejor porqué los promotores llevan haciendo campaña durante años para instalar eólicos en los lugares más recónditos de los campos franceses. No es ni la electricidad, ni el futuro del planeta lo que les interesa, sino un pacto subterráneo considerable a menudo objeto de evasión fiscal de caudales, de los cuales nadie sospecha la amplitud y del cual se cuidan bien de hablar. Por un lado el control de estos certificados es muy ligero e ilusorio. Cada uno sabe que existen certificados emitidos varias veces para un mismo equipamiento, lo que está totalmente prohibido. Los organismos de “control” son a menudo simples oficinas privadas a la merced de los grupos industriales y financieros que los han creado.
Esto quiere decir también que cuanto más se construyen parques eólicos, por ejemplo, más se prolonga la contaminación del planeta en estos aspectos más graves. Más allá del simple aspecto de la energía, la rentabilidad de los viejos equipos contaminantes es tal que sus propietarios están dispuestos a subvencionar gratuitamente operaciones de energía renovable, hasta el punto de hacerles ganar dinero.
Incluso peor, este sistema interesa sin embargo a las mafias internacionales pues permite blanquear, o mejor dicho “verdear” mucho dinero en poco tiempo. El Servicio de Información y Análisis sobre el Crimen Organizado acaba de producir una relación en este sentido a la atención del Primer Ministro. Con tal sistema, los “poderes” locales son tentados y fáciles, y representan un montante irrisorio de ganancias. Así, las operaciones de energía renovables, como la solar o sobre todo los molinos, se han convertido en la parte aparente y coartada de un vasto tráfico financiero internacional... subvencionado por el contribuyente...
Energies Renouvelables : Trafic des "certificats verts"
Un article de Ludovic Grangeon membre de la FED, vient de paraitre dans le journal Economie Matin
Un article de Ludovic Grangeon membre de la FED, vient de paraitre dans le journal Economie Matin
Les marchés internationaux des Energies Renouvelables et notamment ceux l'éolien sont protégés. Ils mettent en jeux des centaines de milliards d'euros. Les acteurs collectent une multitude de subventions nationales et internationales.
Ils profitent officiellement de l'argent public et de défiscalisations en cascade, contraires aux règles de l'économie de marché
L'enquête en cours en Allemagne concernant un immense trafic de certificats verts des Energies Renouvelables montre à quel point les valeurs fondamentales de l'écologie sont bafouées par ceux, qui ont pris le contrôle des médias, surfent sur la crédulité publique et pratiquent la désinformation pour piller les citoyens.
Après la délinquance en col blanc, la délinquance verte
Par Ludovic Grangeon,
mercredi 19 décembre 2012
En France, la Cour des Comptes a dénoncé en 2012 plus d'1.8 milliard d'euros de fraudes aux certificats carbone, avec 18 procédures judiciaires en cours.
Vendredi dernier, 500 policiers ont investi le siège de la Deutsche Bank à Francfort, la banque centrale allemande. Ils ont perquisitionné les locaux et interpellé 25 personnes dont le co-président en personne, Jürgen Fitschen, et le directeur financier, Stefan Krause, dirigeants principaux du conseil d'administration.
L'objet de cette opération de police d'envergure était encore plus grave que d'habitude. Il s'agit cette fois de fraude aux certificats carbone, ces fameux certificats verts dont tout le monde parle mais dont personne ne connait rien. Ils sentent de plus en plus le soufre ces certificats. Leur fraude est estimée par les polices financières à 5 milliards € rien que pour cette année.
Quelques exemples: un ministre ukrainien a été impliqué dans un détournement de 300 millions de certificats en 2011. En un an, le marché italien des certificats carbone a engendré 500 millions de fraudes avant d'être fermé en catastrophe. En France, la Cour des Comptes a dénoncé en 2012 plus d'1.8 milliard de fraudes aux certificats carbone, avec 18 procédures judiciaires en cours. Ce procédé est la gangrène des énergies renouvelables dont il a complètement pourri la base. Avec l'opération de police à la Deutsche Bank, on atteint un niveau industriel de fraude.
Le principe est simple: vous construisez par exemple un parc d'éoliennes. D'une part votre électricité sera obligatoirement rachetée au prix fort par le contribuable, même si elle est de mauvaise qualité. Mais d'autre part, il existe une ressource souterraine encore plus intéressante: sans rien dire à personne, vous allez pouvoir négocier au niveau mondial des « certificats » qui vont être rachetés par des industriels pollueurs pour pouvoir continuer à polluer. Ces certificats sont autorisés au nom de mystérieux quotas internationaux définis par quelques experts et surtout quelques banquiers dans le secret de ces fameuses conférences internationales sur le réchauffement climatique. De toutes façons, leur montant compte peu, car ils sont très mal contrôlés et servent souvent plusieurs fois.
Pourquoi des financiers se sentent soudain concernés par l'avenir de la planète? Parce que ce système vaut beaucoup d'argent. On saisit mieux pourquoi des promoteurs battent la campagne pendant plusieurs années pour installer des éoliennes dans des coins reculés des campagnes françaises. Ce n'est ni l'électricité, ni l'avenir de la planète qui les intéresse, mais un pactole souterrain considérable souvent objet d'évasion fiscale de masse, dont personne ne soupçonne l'ampleur, et dont ils se gardent bien de parler. D'une part le contrôle de ces certificats est très léger et illusoire. Chacun sait qu'il existe des certificats émis plusieurs fois pour le même équipement, ce qui est totalement interdit. Les organismes de « contrôle » sont souvent de simples officines privées à la merci des groupes industriels et financiers qui les ont créées.
Ceci veut dire aussi que plus on construit d'éoliennes, par exemple, plus on prolonge la pollution de la planète dans ses aspects les plus graves. Bien au-delà du simple aspect de l'énergie, la rentabilité de vieux équipements polluants est telle que leurs propriétaires sont prêts à subventionner gratuitement des opérations d'énergie renouvelable, tellement elles leur font gagner d'argent.
Bien pire, ce système intéresse désormais les mafias internationales car il permet de blanchir, ou plutôt de « verdir » beaucoup d'argent en peu de temps. Le Service de Renseignement et d'Analyse sur la Criminalité Organisée vient de produire un rapport dans ce sens à l'attention du premier Ministre. Avec un tel système, les « pourboires » locaux sont tentants et faciles, et représentent un montant dérisoire des gains. Ainsi, les opérations d'énergie renouvelable, comme le solaire ou surtout les éoliennes, sont devenues la partie apparente et alibi d'un vaste trafic financier international... subventionné par le contribuable...
J.L.Butré, Président
Fédération Environnement Durable
No hay comentarios:
Publicar un comentario